Le projet européen ADDITOOL portant sur l´application des technologies de fabrication additive métallique dans le secteur de l´outillage se couronne avec succès
L’acte de clôture du projet européen ADDITOOL s’est déroulé le 9 février dernier après 28 mois de travail. ADDITOOL est un projet de recherche et développement financé par l’Union européenne, auquel ont participé des organismes d’Espagne, de France et du Portugal, dont l’objectif est de faire progresser le transfert de connaissances sur les processus de fabrication additive afin de rapprocher leur emploi à la conception d’outils métalliques sur mesure sans recourir à l’utilisation de moules.
L’événement final a été organisé par ADDIMAT, l’Association espagnole des technologies de fabrication additive et 3D, l’un des membres actifs du consortium dirigeant le lot de travaux relatif à la communication. ADDIMAT, qui fait partie d’AFM CLUSTER, a en effet mis l’ensemble de son département marketing à la disposition du consortium ADDITOOL.
Cinq démonstrateurs industriels réels d’outillages métalliques imprimés en 3D ont été présentés pour différents secteurs de l’industrie : alimentation, fabrication de machines, aéronautique et industrie. Chacun des démonstrateurs est fabriqué en faisant appel à différentes techniques de fabrication additive métallique : fabrication additive par arc électrique, fusion sur lit de poudre, extrusion de matériaux métalliques, dépôt par énergie directe et fabrication hybride. En fonction de la taille de l’élément, de sa géométrie, du matériau dans lequel il doit être fabriqué et d’autres paramètres, il est en effet plus avantageux d’utiliser tel ou tel procédé d’impression 3D. La grande diversité de solutions et processus industriels qu’il est possible d’obtenir avec l’utilisation de ces technologies a ainsi été mise en lumière.
Comme partagé avec les personnes présentes, le projet ADDITOOL a également favorisé le transfert de connaissances dans toute la région SUDOE. De nouveaux programmes éducatifs ont été développés aussi bien pour les étudiants en ingénierie que pour les industriels. Le transfert de connaissances et de compétences mené à bien par le consortium ADDITOOL s’est notamment appuyé sur la mobilité des enseignants, des chercheurs et des doctorants pour mettre en commun ce savoir et partager toutes les
bonnes pratiques.
L’événement a compté sur la présence d’intervenants de l’Université de Cranfield et d’entreprises internationales telles qu’Ampower, Addup, Adaxis et Rescoll, qui ont évoqué l’avenir de la fabrication additive et sa contribution en termes de développement durable, ainsi que sa capacité à ouvrir les portes de nouveaux champs d’application et de développement de la technologie.
Le projet ADDITOOL s’est déroulé sur 28 mois et s’est vu allouer un budget de 1,71 million d’euros, 1,28 million ayant été subventionné par le Fonds européen de développement régional (FEDER).
Les résultats de ce projet devraient contribuer au développement de procédés plus efficaces et plus rentables pour la fabrication additive métallique, ce qui favorisera la compétitivité et la croissance de l’industrie européenne. Tout au long du projet, 7 webinaires techniques ont été organisés. Ces derniers ainsi que toutes les informations publiques ayant été créées au cours de ces 28 mois seront disponibles sur le site web www.additool.eu pendant au moins deux ans à compter de la fin du projet.
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L’événement final a été organisé par ADDIMAT, l’Association espagnole des technologies de fabrication additive et 3D, l’un des membres actifs du consortium dirigeant le lot de travaux relatif à la communication. ADDIMAT, qui fait partie d’AFM CLUSTER, a en effet mis l’ensemble de son département marketing à la disposition du consortium ADDITOOL.
Cinq démonstrateurs industriels réels d’outillages métalliques imprimés en 3D ont été présentés pour différents secteurs de l’industrie : alimentation, fabrication de machines, aéronautique et industrie. Chacun des démonstrateurs est fabriqué en faisant appel à différentes techniques de fabrication additive métallique : fabrication additive par arc électrique, fusion sur lit de poudre, extrusion de matériaux métalliques, dépôt par énergie directe et fabrication hybride. En fonction de la taille de l’élément, de sa géométrie, du matériau dans lequel il doit être fabriqué et d’autres paramètres, il est en effet plus avantageux d’utiliser tel ou tel procédé d’impression 3D. La grande diversité de solutions et processus industriels qu’il est possible d’obtenir avec l’utilisation de ces technologies a ainsi été mise en lumière.
Comme partagé avec les personnes présentes, le projet ADDITOOL a également favorisé le transfert de connaissances dans toute la région SUDOE. De nouveaux programmes éducatifs ont été développés aussi bien pour les étudiants en ingénierie que pour les industriels. Le transfert de connaissances et de compétences mené à bien par le consortium ADDITOOL s’est notamment appuyé sur la mobilité des enseignants, des chercheurs et des doctorants pour mettre en commun ce savoir et partager toutes les
bonnes pratiques.
L’événement a compté sur la présence d’intervenants de l’Université de Cranfield et d’entreprises internationales telles qu’Ampower, Addup, Adaxis et Rescoll, qui ont évoqué l’avenir de la fabrication additive et sa contribution en termes de développement durable, ainsi que sa capacité à ouvrir les portes de nouveaux champs d’application et de développement de la technologie.
Le projet ADDITOOL s’est déroulé sur 28 mois et s’est vu allouer un budget de 1,71 million d’euros, 1,28 million ayant été subventionné par le Fonds européen de développement régional (FEDER).
Les résultats de ce projet devraient contribuer au développement de procédés plus efficaces et plus rentables pour la fabrication additive métallique, ce qui favorisera la compétitivité et la croissance de l’industrie européenne. Tout au long du projet, 7 webinaires techniques ont été organisés. Ces derniers ainsi que toutes les informations publiques ayant été créées au cours de ces 28 mois seront disponibles sur le site web www.additool.eu pendant au moins deux ans à compter de la fin du projet.
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